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18 novembre 2008

Commentaires

gary justel

Mesdames 50 %

Madame Royal a obtenu (laissons de coté les centièmes) 50 % des voix lors du vote pour l’élection de la première secrétaire du PS.

La décision du Conseil national, décision politique hors chiffrage exact et hors comptage stricte, a confié le PS à Mme AUBRY.

Ce scenario, irréel, fantaisiste, peut-être politiquement correct ???, met la nouvelle patronne du PS dans une situation inconfortable, d’autant plus que cette majorité qu’elle n’a pas obtenue dans les urnes, tient son origine de ce « front anti-Ségolène », dont le seul mérite aura été de faire que les éléphants, mammouths, dinosaures et autres espèces si abondantes au sein du PS, dans cette union sacrée sur l’autel de la haine, soient arrivés à signer, sous l’apparence d’un triomphe, leur « suicide collectif ».

La première victime, cible privilégiée dans la démarche de la nouvelle première secrétaire, aura été Bertrand Delanoë.
François Lamy, lieutenant dévoué de Mme Aubry, l’avait très clairement annoncé : « Jamais Martine ne se laissera passer devant par Bertrand ».

Sans doute un des talents de Mme Aubry aura été celui de la manœuvre efficace, bien conseillée, il faut le rappeler, par L. Fabius.
Dans cette campagne anti Delanoë, nous devons faire ressortir l’indéniable action de C. Bartolone, premier fabiusien et de Cambadelis, straus-khanien de première heure.

Dans leu démarche respective, tous les deux n’ont eu qu’un premier objectif, la mort de Delanoë, obstacle prévisible dans le parcours de leurs deux leaders, Fabius et DSK.

Pour parvenir à leurs fins ils n’ont pas hésité à s’unir dans ce que les analystes appellent « le mariage des Carpes et des lapins », sans se douter, cependant, qu’ils signaient dans ce mariage de raison la mort de leurs leaders.

Finalement, celle qui aura bien manœuvré c’est M. Aubry, qui faisant d’une pierre deux coups, aura réussi à tuer Delanoë, qui, sauf miracle très peu probable, ne s’en relèvera plus, tout en se débarrassant, sur l’autel de la rénovation, des deux vieux, Fabius et DSK, dont le sort devient comparable à celui du maire de Paris.

Delanoë, en ne donnant pas, dans un premier temps, de consigne de vote et en se ressaisissant le lendemain pour demander un vote massif pour sa tueuse, aura, non seulement, comme l’a si bien fait remarquer Mme Royal « perdu le sens du code de l’honneur » mais donné l’image plus que pitoyable d’un homme politique sans ressort ni envergure.

Le socialiste-libéral n’aura pas hésité à rallier le camp « gauchiste », bien plus éloigné de ses convictions affichées, que peut l’être Ségolène Royal.
En guise de logique intellectuelle il est possible de faire mieux…

En clair, il aura tout intérêt à enterrer ses ambitions présidentielles et à se consacrer à Paris, dont il est plus que probable qu’il ne pourra pas conserver la mairie aux prochaines municipales. Son « succès » dans le dossier « Paris 2012 », qui aurait pu être un slogan prometteur par ailleurs, additionné à sa performance rémoise, hypothèquent considérablement, à mon sens et sans vouloir être prophète, la suite de sa carrière politique.

Et nous serons obligés de donner raison à L. Jospin, qui, le considérant incapable, ne lui a jamais confié la moindre tache dans son gouvernement, malgré toutes les proclamations d’amitié et d’admiration à son égard.

Ce mélange de tuerie et de suicide collectif apparaît comme la première résultante de ce congrès de tous les errements, qui aura fait ressortir les haines, les stratégies de destruction et les antagonismes, si longtemps cachés par les « pseudo-synthèses », consensus, et autres finesses auxquelles François Hollande aura consacré son talent pendant 11 ans.

Nous devenons des spectateurs attentifs pour la suite de ce « château de cartes » qu’est devenu le « Nouveau PS » sur des bases aussi solides que l’amitié que les uns et les autres se sont mutuellement promises dans leur « putsch » anti-Royal.

Si, à la sortie de cette étape, le PS a, au moins, réussi à tuer ses vieux démons et si les éléphants, démodés et de funeste influence pour la plupart, venaient à laisser l’espace libre à la jeunesse, à la diversité et au modernisme, que l’on nous a promis, nous pourrons dire que ce « Congrès de Reims » aura été, malgré tout ce qu’il nous a fait vivre, Un Grand Congrès.

Il sera toujours temps pendant les trois prochaines années, de penser à 2012, même si nous pensons, et à juste titre, que 2012 c’est DEMAIN.

E. JUSTEL
27/11/2008


Atallon

Voilà donc la Lilloise à la tête du parti socialiste français !!!
La vieille garde au pouvoir .... à nouveau sur sa jambe gauche , en avant toute , jambe droite remisée mise à l'écart , seulement utilisée pour conserver quelque équilibre , vieille garde ringarde totalement déconnectée des aspirations du peuple qui LUI A COMPRIS car c'est au centre en effet , et quant bien même faudrait-il le réinventer , c'est bien au centre (gauche ou droit on s'en moque)que l'on puisse espérer que soit élaboré un projet de societé en phase .
La "pasionaria" des 35 heures s'embourgeoise à Lille , commet de justes et nécessaires alliances , et pourfend l'idée d'un destin national constructif et apaisé .
Intriguante , "inséduisante" et inquisitrice elle n'a rien d'une grande et elle jettera n'en doutons pas l'opprobre sur ce parti aujourd'hui devenu obsolète et ridicule que je quitte sur le champ en attendant impatiemment les innovations de Ségolène .

GOUDIN

S.R Ayant un destin national et étant la seule personne pour battre Sark,c'est la raison pour laquelle les adhérents, vont lui donner la majorité au premier tour.
Avec mes félicitations anticipées.
ALAIN GOUDIN qui fera en en 2012 le bon choix et pas comme bien d'autres la meme erreur qu'en 2007!!
Pensée à méditer : " Si chacun voulait aider son prochain , tous seraient secourus".

MARTEL COLETTE

Section de SAINGHIN EN WEPPES
Nous, militantes et militants de la section de SAINGHIN EN WEPPES (59184), réunis ce mercredi 19 novembre 2008, souhaitons exprimer notre profonde déception, après le congrès de REIMS, qui restera dans les annales un ratage complet, un congtrès pour rien.
Bon nombre de militantes et militants sainghinois et bien d'autres ont été déçus (ils s'en remettront... peut-être). Pire, le PS a donné aux françaises et aux français qui soufrent tous les jours de la crise économique et sociale l'image d'un parti incapable de se rassembler, d'avoir un projet, d'avoir un chef.
En ces temps difficiles, nous attendions de tous un sursaut d'humanité, de bon sens permettant de dépasser les divergences ou plus exactement les nuances. Notre déception est à la hauteur de nos espérances de voir émerger un parti solide, dynamique, constructif.
Le parti a donné, une fois de plus, le spectacle affligeant d'une guerre de clans, d'une guerre de personnes.
Le PS laisse sur le chemin des militants désemparés, accablés.
Les militantes et militants sainghinois sauront néanmoins prendre leurs responsabilités en allant voter ce jeudi 20 novembre. Ils espèrent fermement que la ou le candidat élu(e) sera accepté(e), soutenu(e) et aidé(e) par tous pour construire un parti socialiste rassembleur et fort, capable de bâtir un programme.

J.Vargas

Cher Vincent, cher camarade.

Je me permettrai en tant que camarade de te tutoyer durant ce petit courrier ceci n'enlevant rien au respect et à l'estime que je t'accorde.
Je me présente rapidement, 28 ans, enseignant, membre du PS depuis 3 ans, élu dans une commune de 5000 habitants du Sud de la france depuis 8 ans. Je suis délégué à la jeunesse et m'occupe de manifestations caritatives.
La politique une vraie passion pour moi, le PS une évidence. Je t'avoue avoir toujours eu le coeur à gauche, mais avoir été souvent désarçonné par la ligne directrice et les agissements du PS... il m'est très sincèrement arrivé plusieurs fois de me questionner quant à mon appartenance à cette famille politique. Et pourtant, je suis coinvaincu que cette famille, bien que fragilisée, c'est ma famille!!
Pourtant je suis un peu perplexe sur l'évolution du parti, les agissements de chacun, et il m'arrive de m'interroger sur la part de sincérité de tous... Agissent-t-ils toujours par conviction, pour proposer quelque chose ou sont-ils juste dans une logique visant à faire briller son égo, sans souci de la réalité.
Je vais être honnète, j'ai voté blanc lors du choix des motions, M. Delanoé trimbalant un M. Hollande qui a volé d'échecs en échecs, Mme.Aubry qui incarne le vieux parti de gauche de 1980 dont plus personne ne veut hormis quelques diplodocus, enfin Mme. Royal porte avec elle l'échec d'une présidentielle et une période post présidentielle que j'ai peu apprécié. Malgré tout (et cela est paradoxale ) j'avais bonne espoir que votre motion l'emporte car tu étais une des personnes qui la soutenait et surtout que clairement on pouvait envisager un rapprochement, éventuel, avec le modem. J'apprécie ton carisme naturel sans crie sans condescendance sans dénie. J'apprécie la nouveauté que tu incarnes, j'apprécie ton franc parlé... J'entends sans arrêt que le parti veut se rénover, veut engager de nouvelles têtes alors j'aimerais savoir comment concrétement, je pourrais évoluer au sein du parti; je pensais que mon expérience, mon dynamisme pouvaient être des points forts. Alors je fais appel à toi, car je veux réussir, je veux aider, je veux m'investir, j'ai des idées mais difficile de s'imposer en politique sans une rencontre... j'ai espoir que cette rencontre puisse avoir lieu avec toi...
Tu as mon mail, je pourrai te donner mes coordonnées téléphoniques par la suite! J'espère que ces quelques lignes seront te convaincre et que tu pourras tenir les engagements de rénovation et sollicitation des jeunes.

Que demain, jeudi soit un vrai tournant, et qu'il conduise par la suite à une unité, une cohérence du parti; de nouvelles échéances arrivent et redorer notre blason semble urgent!! Alors courage pour demain, je milite, je militerai!!

Avec ma sincère estime et mes amitiés socialistes. Je compte sur toi!!

Jérôme Vargas

Micoud Pierre

Tout simplement je te félicite Vincent. Tu est un grand homme.
Un adhérent depuis 36 ans au P.S., ex Rocardient P.S.U..
Je serait bien heureux que tu publie la listes des malfaisants.
Quand je pensse à ce que j'aurait pue m'acheter avec la somme totale de mes cotisations de 36 années, qu'ils ont gaspillés. Et pourtant ils sont mes salariés, il vivent bien grace à nous tous les adhérents. Ont a fait campagne pour eux. Au moins qu'ils facent leur devoir.
"L'intérêt se trouve toujours très proche du devoir" Saint Augustin

Vincent de Nice

Bonsoir Cher Vincent,

Les temps changent ! S’il faut parfois rester fidèle à ce qu'on est malgré les turbulences, il est aussi parfois indispensable, a contrario , pour rester fidèle à ses valeurs et à ses idées, d’évoluer dans son discours ou dans son positionnement.

Si la fidélité est une de mes valeurs phares, je ne la conçois pas comme un aveuglement et je n’ai jamais accepté de me renier ou d’avaler des couleuvres. Je suis fidèle à une exigence philosophique, idéologique et politique, je ne le suis à un leader que pour autant qu’il reste lui-même fidèle à ce pourquoi je l’ai rejoint.

C'est pourquoi, après avoir milité, deux ans durant, il y a déjà 15 ans, au RPR, j'ai quitté ce mouvement deux ans plus tard quand j'ai compris, un peu tard, qu'il n'était pas celui que je croyais, quand j’ai saisi que le gaullisme social que j’avais cru discerner chez CHIRAC s’est muté en un mélange d’étatisme autoritaire et de libéralisme écervelé.

J'ai été plusieurs fois déçu depuis dans mes pérégrinations mais sans entrer dans le détail de mon parcours, un trait ressort de manière évidente, je me rapproche de plus en plus de la gauche au fur et à mesure que passent les années et les mois, au fur et à mesure que la droite se droitise et s’apparente aux néoconservateurs américains que j’abhorre.

Ayant adhéré au MoDem dès son origine car c’était à mes yeux un futur parti d’opposition forte au nouveau pouvoir sarkozien qui avait le mérite de n’être pas socialiste mais de ne pas voir les socialistes comme des ennemis, je n'ai pas renouvelé ma cotisation en 2008 car ce mouvement qui avait fait naître tant d'espoirs s'est comporté de manière très insatisfaisante à mon goût. Bien que je continue à respecter beaucoup de ses leaders et à partager nombre de ses propositions, je me suis rendu compte, il y a déjà quelques mois, disons près d’un an, que la gauche en général ne m’inspirait plus le même sentiment de dégoût et que ses idées, son projet, ses leaders pouvaient même a contraire m’inspirer le respect, l’estime et faire naître un espoir, un « désir d’avenir » comme on dit dans certaine sphères…

Au sein de la gauche, le P.S. en particulier ou plutôt une partie du P.S. a réellement attisé ma curiosité d’abord, mon intérêt ensuite. Pierre MOSCOVICI, Hubert VÉDRINE, Ségolène ROYAL, Manuel VALLS, Najat BELKACEM, Gérard COLLOMB, Jean-Louis BIANCO, François REBSAMEN ont tous, comme vous-même, inspiré ma pensée ou plutôt l’ont affermie. Oui cette partie du P.S. ressemble bien plus à ce que j'attends d'un parti politique que ce que j’ai trouvé au MoDem. Et ce, en dépit d’une part de l’espoir immense qui a été le mien quand j’ai rejoint le parti démocrate français (j’étais si fier et si enthousiasmé de me retrouver dans un parti du nom de Barack OBAMA) et d’autre part du spectacle désolant, affligeant, désespérant qu’offrent les Socialistes depuis des mois. Les lamentables disputes de ce week-end, grotesques et infondées quand on constate les nombreuses proximités idéologiques, me désespèrent. Il y a tellement de points communs, même entre ceux qui paraissent si opposés.

Alors, y’a le « dispositif humain » comme ils ont dit ! Et patatras, le PS est éclaté. Et même si un leader est désigné, que j’espère que ce sera Ségolène et que je souhaite que ce soit à la majorité absolue, je sais que comme quelqu’un l’a dit, c’est une sorte de cohabitation qui va naître au sein même du parti. Si Ségolène est élue, beaucoup ne l’accepteront pas et il va y avoir du gros temps ! Elle aura donc besoin de soutien et de renfort.

Alors, j’ai pris les devants et j’ai rejoint le 7 novembre dernier l’association « Désirs d’avenir » et ce n’est que la première étape. Si elle est élue Premier Secrétaire, je compte bien aller plus loin et adhérer dans l’heure au P.S. afin de mettre mon énergie, mon enthousiasme et un peu de mon temps au service de la nouvelle équipe et du projet d’alternance.

Il m’aura fallu du temps, des années même pour achever ma filiation idéologique. Sans doute que je n’avais pas discerné initialement l’erreur que je commettais. Sans doute aussi que le P.S. d’avant, trop étatiste, ne pouvait me satisfaire même si je reconnais que de très bonnes choses avaient été faites. Je dois être en train de faire mon chemin de Damas et de trouver enfin MA famille politique naturelle.

Il est probable que mes lectures de ces dernières années ont largement contribué à me faire réfléchir et qu’elles ont conduit à affermir ces valeurs qui étaient profondément ancrées en moi depuis toujours : démocratie, République, laïcité, justice, vérité, multilatéralisme... Il est évident que les tromperies des uns, les duperies des autres m’ont fait m’éloigner de mes premières idoles. Il ne fait aucun doute que la mystification à laquelle Petit César s’est livré comme l’entreprise de sape de notre République qu’il conduit avec délectation et arrogance, m’ont radicalisé.

L’an dernier, au premier tour, j’avais préféré le Projet d’espoir que BAYROU avait porté plutôt que le Pacte présidentiel défendu par Ségolène. Cette année, la motion que vous avez produite contient bien plus d'idées auxquelles je tiens plus que tout que les projets de François BAYROU et de ses amis, ce qui ne signifie pas que je rejette tout ce que dit le MoDem mais je me suis aperçu que je suis bien plus souvent en accord avec vous qu’avec eux. Lorsque, très ponctuellement, je n'approuve pas totalement telle ou telle des propositions que vous faîtes (c'est un vous collectif), je juge qu'il ne s'agit que de détail ou de différences tout à fait surmontables alors que certaines positions avancées par quelques leaders nationaux du MoDem me déplaisent fortement. Je pense évidemment à certaine proposition de Jean PEYRELEVADE ou à des décisions de François BAYROU, eu égard à la politique étrangère de la France, à la question institutionnelle aussi. Bref, aujourd'hui, je me sens en phase avec Ségolène et son équipe dont vous faîtes partie.

La passion et la flamme que vous avez mises dans vos interventions à Reims et depuis lors dans les médias (j’ai regardé sur votre blog il y a quelques minutes votre passage sur LCI où Christophe BARBIER vous interrogeait) sont comme un talisman galvanisateurs…

Cela fait des mois que je suis avec beaucoup d'attention les interventions médiatiques des amis de Ségolène –et donc aussi de vous-même, que je lis les discours, que je consulte les blogs, que je lis les livres qui sont publiés : ceux de Manuel VALLS par exemple, celui de Renaud DÉLY « Les tabous de la gauche », ceux d’Arnaud MONTEBOURG, l’essai de Roger-Gérard SCHWARTZENBERG sur la maldémocratie, ceux de Ségolène, celui que vous venez de publier sur la révolution française inachevée que je n’ai pas encore achevé car il est d’une grande densité. Certains passages sont ardus pour un non initié à la philo mais ce livre qui amène à réfléchir intensément est vraiment passionnant.

Je vais m’y replonger.

À très bientôt.Je vous souhaite le meilleur et à tous les membres de l'équipe de Ségolène comme à celles et ceux qui consultent ce blog, j'adresse mon salut très fraternel.

Vincent
Nice, le 18 novembre 2008

lesaulnier michele

j ai ete ce que certains appelent une militante a 20 euros.j avais connu le ps en un autre temps: j ai 57 ans..je vis dans une region de droit:le sud de la manche.je n ai pas ete recue a bras ouvert et j ai mis les pieds 2 fois dans la section..une maison de retraite de l education nationale!!!je ne peux que dire a segolene et vincent:faites tout pour gagner sinon nous reverrons les vieux sbires qui nous ont colle la droite au pouvoir depuis 2002..rien ne me choque quand aux moyens pour battre sarko.il est vraiment trop dangeureux.lui il a compris bien avant les fossiles du ps comment on prend le pouvoir au 21 siecle.de la modernite que diable!!!je la vois la misere qui progresse dans mon metier d infirmiere.c est peu de chose mais je suis de tout coeur avec vous..et vive la FRATERNITE

Christine

A toi Vincent, Ségolène et les autres

Ne lâchez rien, gardons l'espoir du renouveau.
Jeudi soir nous saurons si les militants socialistes ont compris les manœuvres des "anciens" et s'ils ont envie d'écrire cette nouvelle page d'histoire de notre parti.

Fraternellement et socialement vôtre,

Une récente militante du Gard

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